L’enseigne La Fnac a signé le 16 février à Paris sa nouvelle charte Responsabilité Sociale et Environnementale (RSE) et invite ses fournisseurs à s’associer à la démarche »pour mettre en oeuvre une une politique développement durable innovante et volontariste », a souligné la filiale du groupe PPR, dans un communiqué.
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Je n’ai aucun grief à l’encontre de la FNAC (ni de PPR sur lequel j’ai réalisé un audit d’opinion).
Par contre, l’expérience montre qu’il ne suffit pas de signer une charte RSE pour passer d’emblée dans le camp des gentils. Les choix révèlent les stratégies, et les internautes se méfient de la communication institutionnelle. Ils n’hésiteront pas à tomber sur l’entreprise à bras raccourcis si son comportement dément ses prises de position officielles.
Tout à fait d’accord. Singé une charte RSE n’est qu’une façade, c’est un peu comme les jeux olympiques en Chine, censé être les garants du respect des droits de l’homme… qui y croit ?
Par contre, ce qui est intéressant, et pas que dans le cas de la FNAC, c’est justement la communication institutionnelle autour de leur démarche RSE. Tout ce qu’ils annoncent est facilement vérifiable et donc justement attaquable… c’est une forme de transparence non ?
Le plus intéressant dans tout ça c’est la dynamique vertueuse de la FNAC engagée vis à vis de ses fournisseurs… et elle en a quelques-uns !
Un distributeur de cette taille qui se met à évangéliser ses parties prenantes, tout ça va dans le bon sens; en attendant sa prochaine démarche d’éco-marketing vis à vis de ses clients…