Pour la troisième année consécutive la délégation Alsace de l’ADBS était partenaire du salon Cogito Expo qui se tenait hier à Strasbourg.
L’ADBS y tenait un stand et a pu ainsi présenter ses activités, formations, revues et ouvrages. Un grand merci à Patrick Müller, adhérent fidèle depuis plus de vingt ans et acteur impliqué puisqu’en plus d’être venu m’aider sur le stand, s’occupe des traductions en allemand d’extraits de la revue Documentaliste Sciences de l’Information.
Un grand merci également à Michèle Battisti, responsable de la veille juridique à l’ADBS et nouvelle rédactrice en chef de la revue Doc-SI, qui a fait le déplacement de Paris pour animer un atelier de 45mn sur la thématique « les veilleurs face au droit ».
Et bien sûr, merci à tous les adhérents et non-adhérents qui ont échangés avec nous au milieu des speed démos, des ateliers et des conférences. Sans aucun doute, la thématique « L’information, la connaissance…l’Humain ! » était bien choisie.
En tant que Délégué Régional Alsace, j’animais pour ma part, un atelier sur « l’évaluation de l’information sur le web ». L’occasion de présenter et d’échanger sur des notions comme la crédibilité, la fiabilité, la popularité, la croyabilité et bien sûr la pertinence. Qu’est-ce qui fait qu’une information peut être pertinente pour quelqu’un dans un contexte donné, inutile pour une autre et pas fiable pour une troisième ?
J’en ai également profité pour présenter les processus cognitifs qui se jouent dans le cerveau, notamment dans le cas de la lecture sur le web. En insistant sur le quadruple brouillage (voir la présentation) auquel nous sommes tous soumis lorsque nous surfons sur le web, mon atelier était l’opportunité de sensibiliser chacun sur les enjeux, souvent différents, entre les diffuseurs et agrégateurs de l’information et ceux qui les recherchent.
Merci à tous ceux qui ont suivi et interagi lors de cet atelier. Vous trouverez la présentation ci-dessous.
Que ce soit Facebook , Twitter ou Internet, les 11/15 ans vivent avec le Web 2.0. Parfois diabolisées ou mal comprises des adultes, les nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC) font partie du quotidien de cette génération. Et elles n’ont pas que des conséquences négatives, loin de là, comme le démontrent les derniers résultats de l’enquête Health Behaviour in School-aged Children 2010, qui, tous les quatre ans, passe au crible les comportements santé des adolescents dans plus de 40 pays.