L’idée de « gouvernance d’Internet » a tout pour plaire. Gouvernance (plus séduisant que hiérarchie, gouvernement et autorité) évoque transparence, consensus, bonnes pratiques et coopération entre gouvernements, acteurs privés et représentants de la société civile. Les « parties prenantes », comme on dit aujourd’hui. Ce serait au fond une forme d’organisation participative, applicable à des flux de richesses, d’informations,…